Il y a trois jours, Néji Jouini, le superviseur de la direction nationale de l'arbitrage fraichement désigné, qu'une plainte a été déposée pour tentative de corruption d'un arbitre, samedi dernier et que la brigade de recherches d’El Gorjani a entamé son enquête.
D’après la version de Jouini, trois personnes ont appelé un arbitre et lui ont proposé un pot-de-vin, ajoutant que le procureur général s'est saisi de l'affaire depuis samedi dernier, ajoutant que l'enregistrement a été examiné, outre quelques autres preuves.
Or, depuis cette révélation, on essaie toujours de cacher la vérité, de ne pas citer l’appartenance de ces trois personnes ni l’arbitre concerné. Face à un tel silence, qui nous rappelle d’autres affaires similaires vite enterrées, Jouini doit à l’opinion publique d’autres explications car il s’agit de dangereux dérapages qui se succèdent à cause du silence complice qui accompagne de telles affaires.
K.Z.