Le Tribunal cantonal de Tunis a refusé les demandes de libération des quatre accusés dans l'affaire du drapeau turc, hissé au-dessus d’un bâtiment administratif relevant de la Société nationale des chemins de fer tunisiens (SNCFT), à la place du drapeau tunisien.
Le ministère public près le Tribunal de première instance de Tunis avait ordonné l’ouverture d’une enquête judiciaire dans l’affaire et avait décidé, le 11 septembre courant, après l’enquêtes et les auditions, de placer quatre personnes en garde à vue. Une cinquième personne a été maintenue en état de liberté.
La direction générale de la SNFCT avait présenté officiellement ses excuses, affirmant qu’il s’agissait d’une « erreur ».