Ne peut-on réfléchir… ?
Ne peut-on songer à… ?
Ne peut-on envisager l’exactitude dans l’action lorsque celle-ci a pour finalité
l’anéantissement… ?
Certes, le mois d’avril et surtout son premier jour est :
Le premier jour farceur…
Le premier jour polisson…
Le premier jour plaisantin…
Et cela donc nous y autorise à y penser… et à y revenir; aux souvenirs facétieux et
espiègles de ce jour.
Mais la réalité aujourd’hui est toute autre…
Ce début du mois d’avril, le 1er avril 2024 :
Nous a douchés
Nous a trempés
Et nous a inondés de sang !!!
- L’ambassade de la République Islamique Iranienne à Damas : 7 morts
- Gaza en Palestine, les natifs et la cuisine du siège d’une organisation non
gouvernementale “cuisine du monde” où des affiliés anglais, palestiniens, canadiens,
australiens et polonais y exercent en étant aux fourneaux afin de nourrir les démunis du
carnage.
Des cibles… Des objectifs… Points de mire… Exigeant la précision.
Le concept de la précision dans ce cas de figure y joue… y joue pleinement.
Y joue :
En y donnant la représentation de l’adoption d’une stratégie de divertissement dans l’attente
de l'aboutissement électoral américain.
En y évaluant l’efficacité d’une nouvelle arme…
En y produisant une provocation avec écho apocalyptique… !
Sacré poisson d’avril… Quand tu nous tiens…!
Quand tu nous tiens :
à jouer de l'être humain…
à jouer sur l'être humain…
à nous jouer de l’humanité…
La précision devient alors :
Une provocation, une incitation…
- à un défi…
- à une menace…
- à une agression portant une invitation à une réplique certaine.
Mais avec sagesse, jouons et parions plutôt sur une déplorable… irrecevable… et
inexcusable action, celle de la précision de la provocation vécue ce 1er avril 2024.